Pourquoi consulter ?

Des difficultés d’apprentissage ?

 

Les difficultés d’apprentissage se référent souvent à l’échec scolaire de l’élève, quelle qu’en soit la cause. Ils peuvent être réversibles.

Les troubles DYS, quant à eux,  sont des  troubles spécifiques permanents de l’apprentissage qui  sont causés par des particularités cognitives.

En effet, le traitement de l’information fonctionne différemment chez les personnes avec DYS.

Les causes de ces particularités cognitives seraient  certains facteurs génétiques et certains facteurs prénataux précoces.

Si on ne peut pas modifier les causes génétiques et autres causes précoces, on peut agir dans l’environnement de la personne  pour l’aider à mieux  se comprendre et à mieux apprendre, en  aidant l’enfant à contourner certaines des difficultés.

Par exemple, la présence de difficultés scolaires et/ou comportementales d’un enfant peut être le signe d’une immaturité du système nerveux. L’origine de cette immaturité peut intervenir in utéro ou durant les premières années de vie lorsque le système nerveux se met en place rapidement.

Si les réflexes archaïques, par exemple, ne se sont pas développés ou intégrés au bon moment, de nombreuses difficultés peuvent apparaître.

Souvent, la persistance de certains réflexes archaïques empêche l’enfant d’accéder à ses capacités, bien qu’il soit très intelligent. Je travaille en séance avec un programme de mouvements visant à intégrer les réflexes qui perturbent les apprentissages.

Il ne faut pas oublier qu’une personne peut cumuler plusieurs troubles. On retrouve souvent une kyrielle de difficultés par exemple : dyslexie et dyscalculie, troubles autistiques et TDA/H, haut potentiel et dyspraxie/dysgraphie/TDAH…

Venez tester une séance de coaching pour trouver des aides au quotidien pour mieux gérer ces problématiques. 

Une dyslexie ?

Il s’agit d’un trouble spécifique de l’apprentissage et de la maîtrise de la lecture qui peut se manifester par :

– Une confusion entre les sons lus et entendus (dyslexie phonologique).
– Une confusion entre les lettres écrites (dyslexie de surface).
– Une confusion visuelle (m et n / h et l / p et d / n et u).
– Une substitution de mot (belle pour pelle).
– Des omissions de lettres.
– Une confusion due à l’orientation des lettres.
– Des défauts de prononciation.
– Des confusions auditives.
– Des inversions de lettres ou de syllabes.
– Des difficultés de concentration.
– Une grande fatigabilité.
– Une mémoire à court terme faible.
– Une confusion droite /gauche.
– Un manque de confiance en soi.

« La dyslexie est un trouble neurologique d’origine génétique qui persiste toute la vie et dont le retard de lecture n’est qu’une des manifestations » (F. Ramus et al., 2003).

Venez tester une séance de coaching pour trouver des aides au quotidien pour mieux gérer ces problématiques. 

Les troubles DYS sont des  troubles spécifiques de l’apprentissage qui  sont causés par des particularités cognitives.

En effet, le traitement de l’information fonctionne différemment chez les personnes avec DYS.

Les causes de ces particularités cognitives seraient  certains facteurs génétiques et certains facteurs prénataux précoces.

Si on ne peut pas modifier les causes génétiques et autres causes précoces, on peut agir dans l’environnement de la personne  pour l’aider à mieux  se comprendre et à mieux apprendre, en  aidant l’enfant à contourner certaines des difficultés.

Par exemple, la présence de difficultés scolaires et/ou comportementales d’un enfant peut être le signe d’une immaturité du système nerveux. L’origine de cette immaturité peut intervenir in utéro ou durant les premières années de vie lorsque le système nerveux se met en place rapidement.

Si les réflexes archaïques, par exemple, ne se sont pas développés ou intégrés au bon moment, de nombreuses difficultés peuvent apparaître.

Souvent, la persistance de certains réflexes archaïques empêche l’enfant d’accéder à ses capacités, bien qu’il soit très intelligent. Je travaille en séance avec un programme de mouvements visant à intégrer les réflexes qui perturbent les apprentissages.

Il ne faut pas oublier qu’une personne peut cumuler plusieurs troubles. On retrouve souvent une kyrielle de difficultés par exemple : dyslexie et dyscalculie, troubles autistiques et TDA/H, haut potentiel et dyspraxie/dysgraphie/TDAH…

Une dysgraphie ?

La dysgraphie est un trouble de la motricité fine qui affecte le geste graphique et la qualité OU la vitesse de l’écriture.

Elle peut se manifester par :
– Une mauvaise tenue du crayon.
– Une douleur lors de l’écriture.
– Une écriture lente ou trop rapide.
– Une écriture disproportionnée.
– Un tracé irrégulier.
– Une crispation de la main et du bras.
– Un manque de soin.
– Un appui trop important sur la feuille.
– L’écriture peut être correcte voire belle mais prendre beaucoup de temps.

En général l’enfant dysgraphique n’aime pas dessiner car cette activité est très pénible pour lui (douleurs, manque de tonus de la main…).

Il est intéressant de vérifier que la stratégie visuelle de la personne présentant une dysgraphie est efficace et qu’aucun trouble neurovisuel ne vient freiner l’acquisition du graphisme.

La présence de certains réflexes archaïques non intégrés (qui peuvent impacter le tonus, la latéralité, la motricité) peut impacter le graphisme. Un travail d’intégration en séances peut aider à améliorer le graphisme. 

Venez tester une séance pour trouver des aides au quotidien pour mieux gérer ces problématiques. 

Une dyspraxie ?

 

Ce trouble neuro développemental se manifeste par une difficulté à réaliser des séquences de mouvements volontaires.

Les gestes sont maladroits, non automatisés et fatigants.

La dyspraxie est classée comme un trouble de la coordination du développement, on parle aussi de TAC (trouble d’acquisition de la coordination).

Il ne s’agit pas d’une simple maladresse, les mains et le corps ne réagissent pas correctement même si la personne se concentre.

On retrouve souvent :

– Une difficulté pour l’habillage, le laçage, la fermeture éclair et les boutons.
– Un manque de tonus musculaire, des chutes.
– Une écriture pénible, lente ou une réelle dysgraphie.
– Des troubles visuo-spatiaux qui impactent la lecture et l’écriture.
– Une difficulté à faire du vélo, nager.
– Une difficulté pour ouvrir une bouteille.
– Des difficultés orales (siffler, souffler)

Etre dyspraxique, c’est comme si : source Les troubles DYS – Fédération des APAJH

  • on faisait du sport en pleine tempête
  • on faisait ses lacets avec des gants de boxe
  • on se cherchait une pièce qui changerait constamment de place
  • on oubliait une chorégraphie à mesure qu’on l’étudiait
  • on utilisait une carte floue

Venez tester une séance de coaching pour trouver des aides au quotidien pour mieux gérer ces problématiques. 

Les causes de ces particularités  seraient  certains facteurs génétiques et certains facteurs prénataux précoces. La dyspraxie n’est pas considéré comme un trouble des apprentissages mais comme un trouble moteur.

Si on ne peut pas modifier les causes génétiques et autres causes précoces, on peut agir dans l’environnement de la personne  pour l’aider à mieux  se comprendre et à mieux apprendre, en  aidant l’enfant à contourner certaines des difficultés.

Par exemple, la présence de difficultés scolaires et/ou comportementales d’un enfant peut être le signe d’une immaturité du système nerveux. L’origine de cette immaturité peut intervenir in utéro ou durant les premières années de vie lorsque le système nerveux se met en place rapidement.

Si les réflexes archaïques, par exemple, ne se sont pas développés ou intégrés au bon moment, de nombreuses difficultés peuvent apparaître.

Souvent, la persistance de certains réflexes archaïques empêche l’enfant d’accéder à ses capacités, bien qu’il soit très intelligent. Je travaille en séance avec un programme de mouvements visant à intégrer les réflexes qui perturbent les apprentissages.

Il ne faut pas oublier qu’une personne peut cumuler plusieurs troubles. On retrouve souvent une kyrielle de difficultés par exemple : dyspraxie et trouble attentionnel / dyspraxie et dysgraphie /  haut potentiel et dyspraxie/dysgraphie/TDAH…

Dyspraxie Dyspraxique mais fantastique

Dyspraxie aménagements scolaires Le cartable fantastique

Une dysorthographie ?

Il s’agit d’un trouble qui affecte l’apprentissage de l’orthographe. Il peut se manifester par :

– Une impossibilité à retenir l’orthographe des mots.
– De nombreuses fautes aux dictées mêmes préparées.
– Des fautes grammaticales.
– L’oubli des lettres en fin de mot.
– une inversion de lettres.

Venez tester une séance de coaching pour trouver des aides au quotidien pour mieux gérer ces problématiques. 

Les troubles DYS sont des  troubles spécifiques de l’apprentissage qui  sont causés par des particularités cognitives.

En effet, le traitement de l’information fonctionne différemment chez les personnes avec DYS.

Les causes de ces particularités cognitives seraient  certains facteurs génétiques et certains facteurs prénataux précoces.

Si on ne peut pas modifier les causes génétiques et autres causes précoces, on peut agir dans l’environnement de la personne  pour l’aider à mieux  se comprendre et à mieux apprendre, en  aidant l’enfant à contourner certaines des difficultés.

Par exemple, la présence de difficultés scolaires et/ou comportementales d’un enfant peut être le signe d’une immaturité du système nerveux. L’origine de cette immaturité peut intervenir in utéro ou durant les premières années de vie lorsque le système nerveux se met en place rapidement.

Si les réflexes archaïques, par exemple, ne se sont pas développés ou intégrés au bon moment, de nombreuses difficultés peuvent apparaître.

Souvent, la persistance de certains réflexes archaïques empêche l’enfant d’accéder à ses capacités, bien qu’il soit très intelligent. Je travaille en séance avec un programme de mouvements visant à intégrer les réflexes qui perturbent les apprentissages.

Il ne faut pas oublier qu’une personne peut cumuler plusieurs troubles. On retrouve souvent une kyrielle de difficultés par exemple : dyslexie et dyscalculie, troubles autistiques et TDA/H, haut potentiel et dyspraxie/dysgraphie/TDAH…

Une dyscalculie ?

Ce trouble provoque des difficultés à comprendre et à utiliser les nombres et à résoudre des problèmes
Il peut se manifester par :
– une difficulté pour lire ou écrire les nombres.
– Une difficulté pour compter oralement ou retenir les tables de multiplication.
– Un dénombrement difficile du fait de difficultés visuo-spatiales.
– Lenteur lors du calcul.
– Souvent associé à une dyslexie ou dyspraxie

Venez tester une séance de coaching pour trouver des aides au quotidien pour mieux gérer ces problématiques. 

Les troubles DYS sont des  troubles spécifiques de l’apprentissage qui  sont causés par des particularités cognitives.

En effet, le traitement de l’information fonctionne différemment chez les personnes avec DYS.

Les causes de ces particularités cognitives seraient  certains facteurs génétiques et certains facteurs prénataux précoces. Selon le Dr Catherine Billard, neuropédiatre à l’hôpital du Kremlin-Bicêtre : « La grande prématurité pourrait être un facteur de dyscalculie, à deux titres. D’une part parce que la grande prématurité est un facteur de  dypraxie et que la dyspraxie est un facteur de dyscalculie et parce que la très grande prématurité est aussi un facteur de difficulté frontale qui est aussi une zone cérébrale qui joue sur le calcul. »

Si on ne peut pas modifier les causes génétiques et autres causes précoces, on peut agir dans l’environnement de la personne  pour l’aider à mieux  se comprendre et à mieux apprendre, en  aidant l’enfant à contourner certaines des difficultés.

Par exemple, la présence de difficultés scolaires et/ou comportementales d’un enfant peut être le signe d’une immaturité du système nerveux. L’origine de cette immaturité peut intervenir in utéro ou durant les premières années de vie lorsque le système nerveux se met en place rapidement.

Si les réflexes archaïques, par exemple, ne se sont pas développés ou intégrés au bon moment, de nombreuses difficultés peuvent apparaître.

Souvent, la persistance de certains réflexes archaïques empêche l’enfant d’accéder à ses capacités, bien qu’il soit très intelligent. Je travaille en séance avec un programme de mouvements visant à intégrer les réflexes qui perturbent les apprentissages.

Il ne faut pas oublier qu’une personne peut cumuler plusieurs troubles. On retrouve souvent une kyrielle de difficultés par exemple : dyslexie et dyscalculie, troubles autistiques et TDA/H, haut potentiel et dyspraxie/dysgraphie/TDAH…

 

 

 

Une dysphasie ?

Il s’agit d’un trouble durable du langage oral qui peut s’exprimer par :

– Des difficultés de prononciation.
– Un langage peu informatif avec un vocabulaire restreint.
– Des difficultés de la compréhension.
– Des difficultés à différencier certains sons.
– Des difficultés à trouver ses mots.

 

Il existe trois types de dysphasie :

  • Dysphasie réceptive avec un traitement phonologique difficile
  • Dysphasie expressive avec des  aptitudes verbales, grammaticales et de compréhension plus faible que la moyenne.
  • Dysphasie mixte avec tous les symptômes

Site d’information  Avenir Dysphasie France

Venez tester une séance de coaching pour trouver des aides au quotidien pour mieux gérer ces problématiques. 

Les troubles DYS sont des  troubles spécifiques de l’apprentissage qui  sont causés par des particularités cognitives.

En effet, le traitement de l’information fonctionne différemment chez les personnes avec DYS.

Les causes de ces particularités cognitives seraient  certains facteurs génétiques et certains facteurs prénataux précoces.

Si on ne peut pas modifier les causes génétiques et autres causes précoces, on peut agir dans l’environnement de la personne  pour l’aider à mieux  se comprendre et à mieux apprendre, en  aidant l’enfant à contourner certaines des difficultés.

Par exemple, la présence de difficultés scolaires et/ou comportementales d’un enfant peut être le signe d’une immaturité du système nerveux. L’origine de cette immaturité peut intervenir in utéro ou durant les premières années de vie lorsque le système nerveux se met en place rapidement.

Si les réflexes archaïques, par exemple, ne se sont pas développés ou intégrés au bon moment, de nombreuses difficultés peuvent apparaître.

Souvent, la persistance de certains réflexes archaïques empêche l’enfant d’accéder à ses capacités, bien qu’il soit très intelligent. Je travaille en séance avec un programme de mouvements visant à intégrer les réflexes qui perturbent les apprentissages.

Il ne faut pas oublier qu’une personne peut cumuler plusieurs troubles. On retrouve souvent une kyrielle de difficultés par exemple : dyslexie et dyscalculie, dysphasie et troubles attentionnés, troubles autistiques et TDA/H, Haut Potentiel et dyspraxie/dysgraphie/TDAH…

Une hyperactivité ou des difficultés d’attention ?

L’hyperactivité peut relever ou non du trouble spécifique TDAH (trouble du déficit d’attention avec hyperactivité. Elle se manifeste par :

Une énergie non canalisée

Une personne continuellement en mouvement

Parfois l’hyperactivité est peu visible (la personne gigote sur sa chaise, touche ses stylos…)

Parfois de l’agressivité

Une impulsivité

Venez tester le module de guidance parental en 7 séance pour mieux gérer les particularités de votre enfant.

Des troubles de l’attention peuvent se manifester par :

Une attention sélective (les personnes peuvent se concentrer sur des sujets qui les intéressent)

Des fautes de copie ou d’étourderie

Des oublis fréquents de rendez-vous, d’affaires personnelles

Des enfants dits« dans la lune »

Des difficultés d’organisation

Un évitement du travail mental soutenu

La perte d’objets

La procrastination : on retarde de payer les factures, on fait les devoirs à la dernière minutes…

Venez tester une séance de coaching pour trouver des aides au quotidien pour mieux gérer ces problématiques. 

Des troubles autistiques légers, modérés ou sévères ?

L’autisme est un trouble neuro-developpementale et non psychique, qui peut se manifester par :

– Des difficultés pour communiquer (langage, geste).

– L’absence de pointage des objets à 18 mois et par la suite.

– Des difficultés sensorielles : hypersensibilité ou hypo sensibilité au niveau visuel, tactile, gustatif, auditif, vestibulaire et proprioceptif).

– Un manque de contact visuel ou un contact visuel trop fixe.

– Un jeu peu développé pour son âge ou en décalage par rapport aux enfants de son âge.

– Des intérêts restreints : passion débordante

– De l’anxiété.

– De l’intolérance face au changement et aux imprévus

– Des troubles psychomoteurs (maladresse, trouble de l’écriture…)

– Des gestes répétitifs.

– Des répétitions verbales (écholalies).

– Difficultés émotionnelles (peu de gradation des émotions).

– Des troubles du sommeil

– Des hyper et hypo sensibilités sensorielles au niveau visuel / auditif/ du toucher / du goût / de l’odorat / proprioceptif (perception, consciente ou non, de la position des différentes parties du corps)/ vestibulaire (contribue à la sensation de mouvement et à l’équilibre).

Dans la nouvelle définition internationale,  les troubles du spectre de l’autisme (TSA) sont définis par des:

  • Déficits persistants de la communication sociale dans des contextes multiples
  • Modèles de comportements restreints et répétitifs (dont les stéréotypies sensorielles)

Votre enfant ne pointe pas du doigt ? il ne montre pas d’objet aux autres ? il semble ne pas vous entendre par moment ? il les regarde peu ? il fait des crises sans qu’on ne comprenne l’origine ? il ne se laisse pas toucher / couper les cheveux….

Demandez à un pédopsychiatre de faire des tests pour vérifier s’il s’agit d’autisme :

– à partir de 16 mois (le M-CHAT)

– l’ADOS (Autism Diagnostic Observation Schedul est un outil d’observation semi-structuré interactif.

– l’ADI-R (Autism Diagnostic Interview- Revised) est un entretien global semi-structuré avec les parents

-le SCQ questionnaire de communication sociale à partir de 4 ans

-le ASSQ pour les plus grands sans déficience associée.

Venez tester le module de guidance parental en 7 séance pour mieux gérer les particularités de votre enfant.

Stop aux idées reçues :

Une personne, un enfant avec autisme peut être très tactile et câlin.

Une personne, un enfant avec autisme peut parler même très bien mais la communication ne sera pas toujours efficace.

Le syndrome d’Asperger

Il s’agit d’une forme d’autisme sans déficience intellectuelle (le cumul avec un haut
potentiel ou un TDA/H est possible) qui s’accompagne souvent :

  • d’une grande anxiété
  • de troubles sensoriels importants
  • d’une très grande fatigabilité
  • de difficultés sociales pour initier et maintenir les relations

Un enfant surdoué / à haut potentiel ?

Cet enfant peut manifester :

– Une grande curiosité.
– Un ennui en classe.
– Un échec scolaire.
– De l’hypersensibilité : une perception sensorielle exacerbée.
– Une gestion difficile des émotions : tourbillon émotionnel.
– Une très grande empathie.
– Une pensée en arborescence.
– Une difficulté à sélectionner l’information pertinente.
– Une grande intuition.
– Une grande lucidité.
– De l’anxiété
– Une forte susceptibilité.
– Un sens de la justice très présent.
– Des peurs étonnantes.
– Une difficulté de socialisation.
– Des troubles de l’écriture.

Venez tester une séance de coaching pour trouver des aides au quotidien pour mieux gérer ces problématiques. 

Des troubles neuro-visuels ?

Les troubles neuro-visuels constituent un trouble visuel d’origine cérébrale (l’oeil ne présente aucune pathologie)

– Ils peuvent altérer les capacités de lecture, d’écriture, de calcul, et praxique de l’enfant.
– Ils peuvent intervenir lors de l’accouchement si un manque d’oxygénation du cerveau appelée anoxie cérébrale intervient. Cette anoxie peut provoquer des lésions postérieures du cortex.
– Des traumatismes crâniens peuvent également causer des lésions entraînant des troubles neuro-visuels.

Types de troubles :
– Un champ visuel modifié.
– Toute amputation du champ visuel identique aux deux yeux doit faire penser à un trouble d’origine neurologique (cécité corticale, vision tubulaire).
– Un trouble de la reconnaissance visuelle : difficulté à reconnaître des formes et des objets en 2D et 3D.
– Une amblyopie.
– Une mauvaise fixation visuelle.
– Un mauvais suivi visuel.

Venez tester une séance de coaching pour trouver des aides au quotidien pour mieux gérer ces problématiques. 

N’hésitez pas à me contacter pour plus de renseignements ou pour une prise de rendez-vous.
Tél. : 07 83 83 49 97 - E-mail : contact@harmonie-apprentissage.fr